Article publié le 23 septembre 2020 sur le lemonde.fr

Une des lignes qui desservait la prison ne stoppe plus devant le centre pénitentiaire. D’autres sont devenues encore plus irrégulières. Des changements qui compliquent les visites des familles des prisonniers.

A Fleury-Mérogis (Essonne), l’avenue des Peupliers s’étend à perte de vue. Il n’y a que la route, droite, bordée de grands arbres et de petites résidences. Des fourgons blindés, des bolides rutilants et de petites citadines cabossées s’y succèdent, toute la journée, dans un ballet quasi incessant. Ils roulent en direction de la maison d’arrêt, la plus grande d’Europe, tout au bout de l’avenue.

lire la suite sur lemonde.fr