Article publié le 8 mars 2022 sur village-justice.com

« Si aucune action urgente n’est lancée d’ici 2030, 68 millions de filles risquent de subir une mutilation génitale », c’était le cri d’alarme d’Antonio Guterres, secrétaire générale de l’ONU, à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre l’excision, le 6 février 2021.


Alors que ce fléau pourrait connaître une recrudescence en raison de la pandémie de Covid 19, que prévoit le droit pénal français face à la pratique de l’excision ?

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